Depuis que l’entreprise a créé sa filiale japonaise il y a 4 ans, dix volontaires internationaux ont été embauchés. Avec plus de deux V.I.E en moyenne par an, la formule peut être considérée comme un fer de lance. Neige Bréant, Business Development Manager pour les marchés européens, en est une parfaite illustration : «Etant bilingue en japonais, j’ai rejoint Ciel&Terre pour une mission de 2 ans au Japon. Après mon volontariat, j’ai intégré la filiale dont l’effectif a plus que quintuplé depuis sa création.»

Mais pourquoi le V.I.E est une formule gagnante ? L’atout indéniable du V.I.E réside dans « la possibilité de former des jeunes aux besoins spécifiques de l’entreprise dans un pays spécifique. A Ciel&Terre, les volontaires en contrat de 2 ans, passent entre 3 et 6 mois en formation, avant d’être opérationnels. Dans ce contexte, une embauche est quasiment garantie », poursuit Neige Bréant.
Quand une entreprise défend des valeurs écologiques et se soucie de développement durable, l’enjeu – outre la détection de ses futurs talents – est d’identifier les tempéraments adéquats. Face à cette problématique de savoir-être, le V.I.E s’avère aussi être la solution, en attirant « des volontaires motivés, adhérant aux valeurs de l’entreprise, capables de participer à un projet commun et de dépasser leurs limites ».

La grande motivation des volontaires associée à leur tempérament de vainqueur a donc pour résultat de générer de la croissance au sein de l’entreprise, qu’elle soit commerciale ou technique. Selon Neige Breant, « ils ont en commun de posséder une forte personnalité et un esprit ouvert, un goût pour le challenge et une curiosité naturelle. » En un mot : « les V.I.E font du très bon travail ! »