«Sur dix V.I.E, huit sont restés chez nous. Mon objectif consiste à former les V.I.E que nous allons ensuite recruter. Nous avons une relation de long terme avec ces jeunes qui peuvent faire carrière dans le pays où ils effectuent leur V.I.E ou rejoindre une autre filiale du groupe. » détaille François Desebbe, PDG d’ACO France
Trouver la perle rare, le collaborateur talentueux qui saura accompagner l’expansion de l’entreprise à l’international… Pidy, entreprise agroalimentaire florissante, a fait du V.I.E son credo pour recruter.
" Le V.I.E, c’est simple, c’est top ! Nous avons toujours bénéficié de jeunes engagés, motivés et issus de grandes écoles telles que l’ESTIC, l’ESTP
pour le bâtiment et l’ESSEC pour l’aspect commercial " souligne Alexandre Lomprez, directeur du développement international de Clestra.
44 V.I.E en poste en 12 ans ! Chez Breizelec, les chiffres parlent d’eux-mêmes ! Le spécialiste breton de la réparation et du reconditionnement
de boîtiers électroniques à destination du monde agricole, a fait du Volontariat International en Entreprise le fer de lance de sa stratégie à l’international.
« Je plébiscite le Volontariat International en Entreprise (V.I.E), c’est un outil génial, pratique, rapide à mettre en place en seulement deux mois et économique à la fois pour le jeune et l’entreprise qui le recrute. Le V.I.E apporte de la stabilité dans la communication entre le siège et les équipes de terrain, il contribue à booster le réseau », lance, enthousiaste, Fabien Philipperon.
« Cette formule nous plaît vraiment. Le V.I.E contribue à la professionnalisation des jeunes, ils se confrontent à la réalité du terrain,collaborent avec les acteurs locaux en nous faisant gagner un temps précieux.» souligne Raphaël Accart, responsable de la gestion d’IED.
« Nous nous sommes lancés avec des risques financiers réduits et sans surprise puisque le budget élaboré en amont par Business France est clair avec une solution d’hébergement pour les jeunes. Le V.I.E est un dispositif d’une simplicité extraordinaire. Il suffit de choisir le candidat et de signer le contrat », souligne Eric Condesse, co-président de Contralco.
« Ce n’est pas un contrat d’expatriation mais c’est bien mieux qu’un contrat local, le V.I.E bénéficiant d’une mutuelle et d’une indemnité mensuelle comprise entre 2 000 et 4 000€ selon le pays de résidence. », souligne Jean-Dominique Lauwereins, co-fondateur et directeur technique de Dronisos.
« Le V.I.E est un succès. Ce dispositif nous fait gagner un temps précieux dans le développement de nos marchés. » explique, Franck Vaillant, directeur de l’entreprise Costarmoricaine Newborn Animal Care.
En dix ans, Numalliance, a fait appel à six V.I.E, certains occupant désormais des postes clés au siège du groupe, à Saint-Michel-sur-Meurthe.
