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Entreprise marseillaise à l’ambition mondiale, Klanik est une société de conseil spécialisée en IT et experte dans les domaines de Cybersécurité, d’IA, de Big Data et de Cloud. Présent à l’international depuis 2016, Klanik poursuit son ascension malgré la crise sanitaire. Cette ESN compte 20 nouveaux volontaires internationaux depuis 2020, convaincue des avantages de cette formule pour soutenir sa croissance au-delà de nos frontières.

Le V.I.E : une aide à l’export

Pour Marie Quenu, HR Partner au sein de la filiale bruxelloise de Klanik et Responsable V.I.E, le recours au volontariat international est une évidence : « Dans notre entreprise, la moyenne d’âge de nos 450 collaborateurs est de 32 ans ! Sur notre marché, il y a une grande concurrence pour attirer les meilleurs talents. En proposant le volontariat international à ses nouvelles recrues, Klanik augmente son attractivité : nous leur proposons d’intégrer une entreprise qui offre des perspectives et des missions de haute envergure. C’est un rapport gagnant-gagnant puisque cela nous permet d’accueillir des jeunes diplômés dotés d’une vision et d’idées nouvelles, qui généralement ont déjà voyagé. Dans notre domaine technologique, il est essentiel d’être à la pointe de l’expertise et curieux de tout. » Dans un secteur qui connaît un fort turn-over, un des autres enjeux pour Klanik est la fidélisation de ses talents : « Après quelques années d’expérience professionnelle, certains collaborateurs souhaitent découvrir de nouveaux horizons. Aussi, le V.I.E nous permet de proposer à ceux qui ont moins de 28 ans une mobilité interne dans une de nos filiales : Bruxelles, Montréal, et désormais Dubaï. »

Avec l’accueil de 20 volontaires entre 2020 et 2021, la formule de Business France est bel et bien le fer de lance de l’internationalisation de Klanik. Mais dans quelle mesure la crise du Covid a-t-elle pu rebattre les cartes ? Notre croissance a été de + 30 % en 2020. Avec un quart du chiffre d’affaires réalisé à l’export, notre objectif est d’atteindre les 50 % en 2026 et de conquérir de nouveaux territoires tels que l’Europe Centrale, et éventuellement l’Asie. Ce n’est pas le fruit du hasard si nous avons accueilli 250 nouveaux collaborateurs l’an passé : la crise sanitaire a poussé nos clients à accélérer leur transformation digitale et la multiplication des cyber-attaques a accru la demande en matière de sécurité informatique, une de nos grandes compétences… »

Marie Quenu,

HR Partner et Responsable V.I.E

« C’est rassurant de signer un contrat français »

« Avant de rejoindre Klanik, j’avais déjà un profil international : au cours de mon Master spécialisé en Ressources Humaines, j’avais participé à un échange universitaire en Californie et effectué un stage en Australie. C’est de cette manière que j’ai réalisé que c’était possible de travailler à l’étranger. Néanmoins, je ne voulais plus m’éloigner de la France, et Bruxelles que je trouve fourmillante, m’a semblé un parfait compromis. En axant mes recherches sur la capitale belge, j’ai découvert le volontariat international. Ce statut offre de nombreux avantages : un contrat français – et rédigé en français – où tout est clair et écrit, des conditions de travail connues, un système de santé adapté à l’international… S’installer à l’étranger est déjà un défi, alors ce cadre était vraiment rassurant pour moi, d’autant qu’il peut être complexe de se familiariser avec le droit du travail local et international. Aujourd’hui, au sein de Klanik, j’occupe une mission de HR Partner qui m’offre davantage de responsabilités et des missions plus variées. Un autre point positif par rapport à ma première expérience en recrutement à Paris… »

Mathilde Couturier

HR Partner
V.I.E en poste

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